Au sommaire
1) De nouvelles réglementations mises en place2) L'adoption du car-sharing
3) La vulgarisation des voitures compactes
Le nombre de véhicules a considérablement augmenté, ce qui pose un gros problème de mobilité en ville. Les zones urbaines sont très saturées, et la hausse constante du nombre de personnes ne fait qu’empirer la situation.
Face à cette réalité, voici des solutions permettant d’adopter des modes de mobilité plus performante afin de fluidifier le transport urbain.
De nouvelles réglementations mises en place
Dans beaucoup de villes, des travaux sont menés en vue de trouver des dispositifs qui limiteront les embouteillages. Certaines ont abouti à la mise en place de nouvelles réglementations qui améliorent la qualité de vie des citadins et réduisent l’impact environnemental des véhicules.
Celles-ci se penchent notamment sur la nécessité d’abandonner les véhicules particuliers des centres-villes pour miser sur des modes de transports propres.
Une telle volonté est parfaitement mise en avant ces dernières années dans la ville de Paris.
En effet, on constate dans la capitale française la suppression des places de parking, l’augmentation des voies de bus, la mise en place de moyens de transport propres en libre accès et l’agrandissement des espaces réservés aux moyens de mobilités électriques.
Mais il est important de noter que même si les solutions de mobilité mises en avant à partir de ces nouvelles réglementations répondent aux besoins d’un certain nombre d’usagers, elles ne conviennent cependant pas à la majorité.
Il est nécessaire de réfléchir davantage pour trouver un dispositif de transport urbain adapté à toutes les pratiques.
L’adoption du car-sharing
Pour améliorer la mobilité en ville, l’adoption du car-sharing est envisageable. Ce concept consiste à offrir aux conducteurs la possibilité de louer une voiture à l’heure ou à la journée.
Il s’agit d’une alternative à la possession d’une voiture.
Des agences qui en sont spécialisées voient le jour dans certaines villes. Celles-ci proposent des adhésions aux personnes désireuses d’avoir un véhicule sans pour autant en être propriétaires.
Si vous vivez en ville ou si vous n’avez pas de longues distances à faire tous les jours et que vous avez à cœur de réduire vos coûts de transport, cette option pourrait vous convenir.
Mais sachez que dans le cadre du car-sharing, la plupart des agences ont tendance à demander le paiement d’un frais d’adhésion.
En outre, vous devez avoir un permis de conduire de catégorie G valide. Concernant le frais d’adhésion, le montant dépend des agences.
Aussi, d’autres critères peuvent être fixés pour être éligibles à l’adhésion, comme l’expérience au volant et l’âge.
Si le car-sharing est adopté par les habitants des grandes villes, le nombre de propriétaires de voiture réduira significativement.
Cela favorisera donc une meilleure mobilité urbaine. Dans les villes où le car-sharing est expérimenté, l’inscription est possible en ligne, par téléphone ou à partir d’une application mobile.
Chaque utilisateur peut réserver à distance une voiture pour une heure ou pour toute une journée à un prix qui dépend du modèle du véhicule.
La vulgarisation des voitures compactes
Une autre solution à mettre en pratique pour améliorer la mobilité en ville est l’utilisation des voitures compactes. Si on vulgarise ce type de véhicule en insistant sur les avantages découlant de son utilisation, cela pourrait favoriser une circulation plus agréable.
Que ce soit à la location ou à l’achat, la plupart des véhicules ont une empreinte au sol très importante. Il est vrai que les véhicules de segment M1 et les modèles sans permis ont une faible empreinte, mais leur coût est très élevé.
Ils ne sont donc pas accessibles à tout le monde.
Alors que les voitures compactes électriques ne sont pas onéreuses en général. Il est possible d’en fabriquer dans une diversité de styles afin de satisfaire tout le monde.
Mais la réelle grande satisfaction est le fait que ce type de véhicule évite une saturation urbaine.